Every me and Every you [Léonore]

Invité

Découvrez Placebo!

Another love I would abuse,
No circumstances could excuse.
In the shape of things to come.
Too much poison come undone.

Un bureau et un couloir y menant. Georges foulait la moquette y conduisant. La porte était a vingt métres en face de lui, et alors qu'il y aurait pu y etre en moins d'une seconde, il marchait a un rythme des plus normal, évitant de ce fait les interrogations d'une éventuelle personne dans le couloir. Ses pas ne résonnaient pas, une surprenante légérété habitait cet être que l'on aurait pu croire normal a premiere vue. Les murs étaient ornés de tableaux ainsi que de chandeliers, donnant a l'atmosphére ce petit plus luxueux ainsi qu'un coté légérement plus mystérieux.

Le mystére, oui, si il y avait bien une chose qui entourait cet hotel c'était bien cela sans ca, pourquoi des chasseurs se seraient aventurés ici, en pleine tanniére de vampires? Le pire devait surement être pour eux le fait de sentir la présence des créatures ici, mais ils ne pouvaient en aucuns cas les déceler. Prenon un exemple. Un beau, presque riche, et jeune directeur d'hotel, cela se voyait, mais si je vous disais qu'il approchait les cinq siécles et demi, vous ne me croiriez pas? Et bien c'était le cas de Georges. En ayant l'idée avec douze autres vampires de créer cet hotel, on pouvait dire que la réussite lui avait souris. Entrer dans ce chateau signfiait a présent merci de nourrir les vampires.

Le jeune homme, ou le vieux vampire, choisissez l'appelation que vous préférée, entra dans son bureau. Il savait avant d'y pénétré que personne n'était dedant. Les années lui permettait d'entendre les battements de coeur et de sentir le sang loin a la ronde, et a ce moment la, il savait parfaitement qu'aucun humain n'était pres de lui. Dommage, la nuit, la vraie, venait de commencer. Ce qu'il appelait la vraie nuit était la période ou tous les clients étaient partis se coucher, et ou le staff de l'hotel pouvait enfin diner.

Il s'installa sur son fauteuil en cuir, et alluma l'ordinateur quiétait devant lui. Ne croyez pas qu'avoir plus de cinq siécle vous dessert, bien au contraire, il vous force a vous habituer a chaque nouvelle époque, a travailler pour parraitre authentique et pas en inadequation avec votre temps. Il jeta un bref coup d'oeil a la liste des résidents dans l'hotel, s'amusant a prévoir qui serait a coup sur mordu cette nuit. La décoration du bureau du grand patron ne laissait apparaitre aucun cadre avec aucune photo. Si il avait bien appris quelque chose en cinq siecle passés, c'était qu'il ne fallait pas s'attacher a des humains, du risque de les perdre, et plus réccemment ne pas s'attacher a une vampire du risque d'être obliger de la livrer contre sa propre vie. Il y avait quelque tableaux de grand peintres qui a l'époque ou il les avait acheté ne valait pas plus qu'une simple poignée de francs ou de livres, suivant le pays dans lequel il les avait acheté.

Assis depuis moins de cinq minutes, il entendit deux léger coups frappés a sa porte et elle s'ouvrit avant même qu'il eut le temps de prononcé " Entrer! ". Il était pres a engueuler la personne qui avait fait cela pour un manque de politesse, mais quand il vit la personne se tenant dans l'embrasure de la porte, il ne put que sourire. Deux fossettes se creusérent a la comissure de ses lévres et il se leva doucement pour aller accueillir comme il se devait la nouvelle arrivante.

- Bonsoir...

Every me and Every you [Léonore] Localdzx8

You can't forget my name Darling.

I

chef

-Bonsoir Georges ...

Invité

Un Boss et sa sous chef dans son bureau, en plein milieu de la nuit, que pouvait il bien faire? Si la question pouvait parraitre quelque peu ambigue, la réponse était claire. Parler de comment gérer l'hotel était réserver a leurs réunions diurnes, la nuit, ils se retrouvaient pour la plupart du temps tous les deux. Qui a dit que s'occuper d'un hotel prenait énormément de temps quand vous aviez un staff aussi attentioné face aux clients. Ils avaient bien raison de l'être de toute maniére, il en allait de leurs survie a tous.

Cette nuit, il ne pensait pas voir Léonore débarqué dans son bureau. Il croyait, a vrai dire, qu'elle irait retrouver un de ses clients et se ferait un festin de son sang, mais visiblement non. Pourtant, cela devait être tout ce que son staff devait être en train de faire, et il les comprenait bien. Quand on avait goutté au sang humain rien qu'une seule fois, il était difficile de s'en passer, et les années n'effacait pas du tout cette dépendance. Durant bon nombre d'années, il avait été obligé de se terrer et de se nourrir de sang animal, cela n'avait vraiment pas la même saveur.

En entendant les deux coups frappés a sa porte a une heure aussi tardive, il s'était largement entaillé le doigt avec le coupe papier qu'il tenait au moment meme. Aucun sang ne s'écoulait de la blessure, rien qu'une unique trou béant qui en moins d'une seconde s'était reffermé. Il passa son doigt dessus et alla a la rencontre de sa nouvelle visiteuse. Il n'y alla pas a pas normaux, mais a une vitesse plus surnaturelle que seuls les vampires avaient en eux. Avant que la jeune femme n'est refermé la porte, il se tenait deja devant elle.

Les deux amants n'en étaient pas du tout a leur premiere fois ensemble. Apres tout ils étaient grands et majeurs tous les deux, oui bon ok de puis presque un demi millénaire. Geroges rencontra le regard bleu de la jeune femme. Lui même avait un regard plutot mystique, il avait le poids des années dans les yeux alors que son corps restait éternellement jeune. Son propre regard bleu azur se plongea dans celui de la jeune femme et il posa ses mains sur ses hanches fines.

Depuis combien de temps couchaient ils ensemble? Presque depuis qu'ils s'étaient rencontrés, mais il avait des soupçons sur son amante. Elle voulait sa place d'apres pas mal de rumeur, et il n'était pas pres de la lui laisser. Et puis, il y avait la jalousie. Entre elle et Cheryl évidemment. Si en temps normaux, cela ne l'avait jamais déranger, a présent si car l'une ou l'aurte dans leurs perpetuels affrontements auraient pu se trahir vis a vis des clients et des chasseurs et il ne le voulait pas plus que ca.

Mais voila, la nuit était bien avancée, les étoiles scintillaient dans le ciel que l'on pouvait voir a travers les grandes vitre de son bureau et sans réfléchir a quoi que ce soit, il embrassa la jeune femme. Cela faisait quelques nuits qu'ils ne s'étaient pas vu et le vampire dit :

- Ca fait plaisir de te revoir apres tout ce temps.

Il n'attendit pas la réponse de la jeune femme et posa ses lévres dans le coup de la vampire. Il les posa a l'endroit même ou d'habitude il mordait ses victimes mais a ce moment la, il ne fit que l'embrasser. Pourquoi mordre un vampire alors que leur sang n'était pas réellement du sang? Non on appelait juste cela un jeu entre amants.

L

- Je suppose que le plaisir est partagé.

Invité

La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments. C'est de les faire soupçonner.

On avait toujours dit de Georges Stanford qu'il avait un pouvoir magnétique sur les femmes. Un trop plein de confiance en lui qui se révélait être un vrai charme. Mais cela avait comme tout chose, une origine. Avant d'être transformé, il était encore le craintif et naif Georges, celui qui n'aurait jamais imaginé qu'on puisse boire du sang humain pour se nourrir, que cela vous soit nécessaire a vie. A vie, même a l'éternité. Sa toute premiére victime avait été une femme qu'il avait charmé, une paysanne aux formes généreuses qu'il avait apres une bonne dose d'alcool, commencé a embrasser dans le cou puis la mordi jusqu'a ce que le sang perla a grosse goutte. Il l'avait tué et depuis ce jour il avait une confiance en soi a toute épreuve, sur de lui des qu'un incident se posait ou des qu'il avait une jolie jeune femme a charmer.

Le temps lui avait appris a être encore plus charmeur, et il ne fallait surtout pas nier le fait qu'il avait eu un nombre considérable de femme dans son lit. Ses yeux, son sourire, sa musculature, tout était approprié a faire de lui un grand libertin lorsque l'époque les mit a la mode. Cela apportait une dose de plaisir conséquente, mais il s'en servait pour une autre chose aussi : Se nourrir.

Flash Back:

Paris, 1772.
La fête battait son plein dans le chateau tres Renaissance de Mme de B***. Cela faisait trois jours que les festivités avaient commencé, en l'honneur d'un mariage dont tout le monde se moquait éperdumment des protagonistes. Le fils du Roi avait même fait son apparation, mais a cette époque, les femmes les plus désirables du royaume n'avaient d'yeux que pour le nouvel arrivant d'Angleterre. D'apres ce qu'on racontait, il avait fui une épidémie qui se propageait dans sa région sur les animaux et qui faiasit des victimes humaines, tuées par la folie de leur bête qui les mordait au coup et les vidait de leur sang. On avait vaguement entendu prononcé le mot vampire, mais avant même qu'ils aient le temps de le prononcé a voix hautes, on les avaient décapités sur place. Des vampires? Et quoi d'autres encore?

Quand Georges était donc arrivé d'Angleterre et qu'il avait avouer que la bas tout le monde pensait tout bas a des vampires, il s'était mélé aux rires franc des gens de la haute bourgeoisie et société francaise. Par son sourire si charismatique et son regard bleu azur, en trois jours, il avait séduit sept femmes. Curieusement, elles avaient toutes été prises du même mal qui était d'avoir un tres forte migraine apres avoir passé du temps avec George a l'abri des regards indiscrets. Mais a cette époque, tout le monde était bien trop discret pour parler de ses propres maux, mais George le voyait rien qu'a les regarder. Deux jours de fêtes de plus, cinq au total, les nobles faisaient la fête, l'ivresse était dans l'air et plus personne ne faisait attention a personne. George avait fait un vrai carnage, étant passé de simple morsure a une vraie boucherie en tuant dix personnes en deux jours. Le sang coulait a proffusion et il en était ravi. De plus, il avait choisi les meilleures, des jeunes filles entre une quinzaine d'années jusqu'a environ vingt, au teint pale qui auraient été parfaite pour lui tenir compagnie plus tard. Mais il était solitaire, et savait qu'a deux, on était toujours plus repérable que tout seul. Le matin du sixieme jour, Lors Birmington comme il s'était fait appelé était partie, croisant sur le chemin des chasseurs vraiment niais qui lui avait demandé la direction du chateau. Ha ces humains...

Fin du Flash Back.

Comment ne pas cesser toutes affaires quand une fille comme Léonore faisait son apparation dans votre bureau? C'était impossible, aussi bien pour les humains que pour les vampires. Mais contrairement aux non suceurs de sang, il n'avait pas cette fibre de la jalousie qui poussait en chacun des qu'on voyait quelqu'un avec qui on avait couché être avec quelqu'un d'autre. Lui s'en amusait plus qu'autre chose, le temps lui avait permis de rationaliser les rapports humains. Il sentit la jeune femme le repousser doucement a bout de doigts et il comprit que c'était un de ces nouveaux jeux, la vampire voulait prendre son temps.

- Je crois oui...

Georges avait été tourné la clé dans la porte de son bureau, et un cliquetis métalliques se fit entendre. Enfermé dans son propre bureau avec Léonore, a le destin était bien fait n'est ce pas? Il s'approcha du meuble sur lequel était posé des documents et surtout, la jeune femme. Un pale clarté émanait de la lune et donnait a la vampire un coté tres mystique qui était magnifique. Il se placa face a elle, caressant du bout des doigts l'une de ses jambes croisées et l'embrassa presque fougueusement. Même si l'éternité leur appartenait, il n'y avait aucun mal a profiter du moment présent...

L

- Oui, tu as raison. Ca fait longtemps ...

Invité

La culpabilité est un sentiment irrationnel,
le sentiment d'être responsable de tout le mal du monde.
Le remords, lui exprime une nostalgie,
le regret de ce qui aurait pu être et n'a pas été.

Regrets, Remords, il fallait tout oublier, et malheuresement pour un vampire la tache avait tendance a être dur. Chacun avait ses secrets bien évidemment, il y avait pour tous quelques cadavres dans le placart. Pour Georges, ce n'était pas une quelconque cruauté ou violence, ce n'était pas une non affirmation de son état de vampire, c'était juste une trahison qui si on l'apprenait le conduirait droit jusque sur le petit bois d'un bucher. Il avait été amoureux, il avait été bien avec quelqu'un, une personne avec qui il comptait peut être passé l'éternité. Mais voila, pour passer l'éternité, fallait il encore vivre, et si il n'avait pas trahit, il ne serait pas dans cet hotel. Ambre. Son souvenir était comme son prénom, il resistait au temps et a tout ce que Georges faisait pour essayer de l'amoindrir voir de l'oublier dans un tirroir. Mais non, il l'avait vendu a une chasseuse pour sauver sa propre existence, et malheuresement pour lui, elle était revenue. Qui savait ce qui allait se passer a présent?

Il pensait quelle allait tout faire pour anéantir le vampire, meme jusqu'a le faire souffrir plus que de raisons mais pour cela, elle avait besoin d'amis, de personnes qui pourraient l'aider. Il fallait a tout prix qu'il empeche le maximum de gens d'aller avec elle et qu'il repérent ceux qui ne seraient pas loyal. Avec Léonore, il avait un probleme. Il ne savait pas ce qui l'attirait le plus en lui : Son pouvoir ou alors lui même. Il savait que sa place était menacée par quelque vampire mais étant plus puissant et plus vieux qu'eux, il avait une sorte de protection implicite. Comme si il en avait besoin. A vrai dire, il avait plus peur de son ex ainsi que de ses potentiels amis que des chasseurs. Ils étaient bien trop lent, bien trop humains pour ne penser qu'a savoir qui il était vraiment.

Revenons en a Léonore et lui dans son bureau. La jeune femme et lui, ca remontait au commencement de l'hotel, peut apres qu'il ait rencontré la bande de vampires tous bien plus jeune que lui. Mais voila, c'était la plus vieille d'entre eux et celle qui semblait la plus jeune a la fois qui l'avait séduit. Il n'avaient qu'une cinquantaine d'année d'écart, ce qui a l'échelle de leur vie respective n'était presque rien. Il regrettait presque en fait de ne pas l'avoir rencontré plus tot, car chaquun avait déja vécut pres de cinq siécle. Imaginé le couple terrible qui aurait agit du seiziéme siécle jusqu'au vingt et uniéme. Mais dans ce cas la, il n'y aurait pas eu Ambre et si Jillian les avait trouvé tous les deux, qui sait si la situation n'aurait pas été la meme. Il connaissait bien la vampire a présent, sachant ce qu'elle aimait, et pas que en amour, aussi avec ses victimes... Apres tout, malgré toutes les filles qu'ils avaiet eu, il ne s'en trouvait pas énormément qui restaient et devenaient des habituels. Entre eux, l'attirance était bien évidemment mutuelle, mais leur comportement respectifs étaient forts, surement du a l'age et l'orgueil était bel et bien présent.

Quoi que l'on puisse dire, sur la cruauté des vampires, leur soif constante de sang, leur décadence, ils avaient toujours certaiens besoins humains. Désir, passion, rien ne s'éteignait même apres un demi siécle. Peut etre que si Georges atteignait le millénaire, il dirait le contraire, mais pour l'instant c'était faux. Il sentit les lévres froide de la jeune femme sur les siennes, contact si souvent eut auparavant mais qui pourtant avait toujours son effet. Leur peau étaient froide, mais ce n'était qu'a cause de leur état de vampire, sans cela, croyez moi bien qu'ils auraient été aussi chaud que deux amants humains. Il l'entendit lui murmurer que ca faisait longtemps et george plongeant ses lévres dans le coup de la jeune femme lui murmurant d'une voix envoutante :

- Et ça ta manqué?

Il sentait que la jeune femme perdait doucement son controle, comme a chaque fois qu'ils étaient ensemble. Georges avait quelque chose qu'on disait mystique, mais de la a dire d'ou cela venait, persone n'en savait rien, même pas lui. Peut être le fait de ses yeux qui semblait avoir vécut tres longtemps sous ses cheveux chatain lui tombant légérement sur son front, ses sentiments qui n'avaient plus rien a voir avec ceux d'un jeune homme de vingt quatre ans, son éternelle vie et soif de sang?

- Moi ça m'a manqué...

L

force

- Je ne pourrais pas le nier ...

Invité

La tendresse, la complicité. C'était ce que les deux vampires ressentait quand il était ensemble. Une sorte de passion en demie teinte, des retrouvailles toujours appréciées. Leurs geste étaient lents et parfaitement controlés. Faire durer le temps, le tirer et l'étendre au maximum, apres tout l'un et l'autre avaient l'éternité devant eux. Certaine personne n'auraient pas supporté de vivre aussi longtemps, la majorité avec des gens avec eux qui veillieraient et mourraient alors que les vampires restaient éternellement jeunes et beaux. Enfin tant qu'ils ne tombaient pas sur quelques chasseurs animés d'attention plus ou moins cruelles vis a vis d'eux. Il sentait les gestes lents et appliqués de la jeune femme, qui se blotissait contre lui apres avoir enlevé un trace de rouge a levre laissée dans le cou.

Pour une fois, Léonore surprit Georges. Il était habitué a la voir forte, tenant tête a ce qui la contrariait et allant toujours dans le sens de ses intéret. Des filles du chateau, elle avait surement la perosnnalité la plus changeante. Elle pouvait être douce avec un client pour obtenir ses faveur et ensuite avoir la joie de planter ses dents d'un blanc éclatant dans son cou, puis faire volte face et montrer toute sa détermination face a une Cheryl en compétition avec elle. Elle était forte, et ne se montrait jamais faible, en tout cas avec lui. Georges fut quelques peu suprit de la voir se blottir contre lui et la sensation d'eau qui tombait sur son pull noir ne pouvait être que des larmes venant de Léo. Que se passait il? Qu'avait il? Le vampire au visage de jeune homme n'étit pas réputé pour etre un confident mais il trouvait tout de même cela étrange.

Bien évidemment, il ne savait pas qu'elle repensait a son premier amour, quelqu'un qui l'avait abandonné apres lui avoir dit qu'il l'aimait. Lui même en avait un paquet de souvenir de ce genre, mais il était comme toujours dans le role du méchant. Non ce n'était pas toutes ses aventures qu'il avait eu au cours des cinq siécle, c'était une histoire plus forte, une qu'il aurait aimé faire duré au dela de l'éternité, mais il avait été lache et avait préféré sauvé sa propre vie. Son histoire d'amour, sa seule et unique, cela avait été Ambre. Les jours s'écoulaient toujours trop vite, l'éternité allait être trop rapide. Le temps s'amusait a leur dépents et eux ne faisaient que sourire. Pas de jours noirs, même leur fuite face au chasseurs, ils la prenaient bien, tant qu'ils étaient ensemble. La vie était douce et peut importait ce qui se passaient a l'extérieur. Ils tuaient homme ou femme, jeunes ou agés, rien n'avait d'importance tant qu'ils vivaient ensemble, ils se sentaient tellement supérieur aux humains. Mais même chez les vampires toute bonne chose avait une fin : Elle celle de leur compte de fée vampirique arriva trop vite, les fins arrivent toujours trop vite. La suite était trop cruelle pour que je la raconte ici mais si Léonore l'apprenait, cela serait surement la fin du beau Stanford.

Léonore se décida a relevé son regard bleu clair vers celui du vampire et malgré un sourire de celle ci, il ne put s'empêcher de voir que ses yeux étaient brillants. Non pas brillant comme quand l'excitation d'être ensemble provoquait des pétillements, non vraiment de la brillance due a l'eau des larmes. Cela faisait une éternité, sans mauvais jeu de mots, que Georges n'avait pas pleuré, considérant cela comme un sentiment humain a abandonné au plus vite. Il ne posa pas de question directe mais l'interrogea d'un regard alors que la jolie blonde glissait ses mains chaudes contre la peau tiéde de son patron. Elle répondit a la question qu'il avait posé auparavant, et sa réponse était élloquente, a vrai dire George s'en serait douter. On pouvait constater la différence de chaleur entre les vampires, cela n'avait rien a voir avec l'age, en général on expliquait cela par la consommation de sang humain : Ceux qui faisaient le plus de victimes possibles, meme sans les tuer, et ceux qui se nourrissaient parce qu'il fallait bien se nourrir.

Le jeune homme caressait doucement la nuque de son amante. Elle était douce et chaude, il était d'ailleur sur que le vampire qui l'avait transformé avait du se faire plaisir. Il descendit le long de sa collone vertébrale, puis passa a son tour ses mains sous on pull, les mettant contre sa taille fine, la sentant doucement frissoner. I déposa ses lévres sur celle de la jeune femme, l'embrassant doucement, espérant lui faire oublier ce qui l'avait fait pleurer...

L

- Et que dis tu de ça ?

Invité

Vampires ou humains, c'était pour tout le monde la même chose, chacun avait deux face dans sa personalité. Non je ne parle pas de quelques troubles psychologique necessitant d'aller voir un psychologue ou quelque chose de ce genre, c'était plus du genre jardin secret et apparence extérieure. Personne ne pouvait jamais honettement dire qu'il était réellement celui qu'il montrait, encore moins un vampire qu'un autre. Bien évidemment eux devaient caché leur nature d'être se nourrissant de sang, mais face aux autres vampires, il ne fallait pas montrer ce qui pouvait vous atteindre. Votre faiblesse devait rester dans l'ombre et si elle était divulguée, vous pouviez être rapidement perdu. Le point sensible de Georges était surement Ambre. Il n'avait pas de remords mais hésiterait a refaire la même chose si l'occasion s'en présentait. Il le savait et y avait réfléchi depuis longtemps. Toutes les nuits, il revoyait un bout de la scéne qui variait en général en fonction de ses sentiments lorsqu'il s'endormait. Il se revoyait la livrant a Jillian ou alors il se revoyait heureux avec elle. Des moments qui étaient de vrais instants de bonheur étaient pénibles a présent. C'était étrange mais pourtant c'était comme cela et si par mégard on évoquait une Ambre en parlant a Georges devant tout le monde, il était capable de garder le même air froid et concentré qu'en toute occasion. Il s'était fait a sa lacheté de l'époque et avait fait tout ce qu'il fallait pour encore évoluer apres cinq longs siécles.

Tout cela pour dire une chose, chacun avait son jardin secret et posé des question a la jolie blonde qui se tenait devait lui n'aurait été qu'inutile et tres maladroit aussi. Ne croyez surtout pas que ces deux traits de caractéres tiypiquement humains étaient encore dans le vampire. Cela faisait bien longtemps qu'il s'en était débarassé.

Les rapports entre les deux jeunes gens, entre guillemets, étaient souvent plein de surprise, l'un s'amusant avec l'autre et l'autre s'amusant avec l'un. C'était des moments de distraction fort agréables et ils n'étaient jamais en manque d'idée mais aujourd'hui, il prenaient vraiment plus leur temps que d'habitude. Georges étant le boss, personne ne pouvait l'engueuler et Léonore étant son employé, elle ne risquait rien non plus. Mr Stanford n'abusait pas de son pouvoir pour coucher avec les plus jolies membres de son staff, non pas du tout, il avait ce charme combiné avec son assurance qui faisait deja tout. Il sentit le visage de la jeune femme s'appuyer doucement contre le sien et ses mains revenir contre lui, puis se faire éjecter avec force contre la paroie qui se trouvait derriére lui. Une idée bel et bien de la jeune femme, c'était clair et net.

Il souria a miss Caldwell alors qu'il s'était adosser au mur qui était derriere lui, voyant la jeune femme fiére de son coup. Pris par surprise, ou il y avait été mais heuresement qu'il était plus sur ses gardes quand il n'était pas avec Léo ou il serait mort depuis bien longtemps. Coincé entre sa bibliothéque et un secrétaire ancien, il vit Léo arrivé contre lui a pas de velours. Elle le croyait coincé entre les deux meubles mais il ne l'était pas du tout, imaginé vous sa force. Il la laissa s'appuyer doucement contre lui alors qu'il passait ses mains dans son dos, puis d'un geste a la vitesse vampirique, il inversa leur position. La jeune femme était coincée. Il l'embrassa sur les levres, au coin des levres sur la joue, au bord du coup, puis la mordit extremement doucement dans le cou avant de l'embrasser. Une petite torture exquise pour son amante...

- Je dis que je prefére comme cela...

L

supposer

- Ah oui ?

Invité

Le passé. Curieusement, on devait fair deux actions avec cette chose qui nous était si reliée. Il ne fallait absolument pas vivre a l'intérieur, de peur de perdre toute forme de présent, mais il ne fallait aussi surtout pas l'oublier car on apprenait souvent de ses erreurs. C'était en quelques sortes contradictoire, mais c'était bien a l'image du genre humain. Geroges avait eu un passé, et même plusieurs en fait. Laissez moi expliquer: Il y avait eu l'avant transformation pour commencer. Sa vie avant été vraiment misérable : Né dans une famille pauvres dans la campagne anglaise, il avait perdu tous les membres de cette famille au fer et a mesure, pour finir comme l'unique survivant. Il avait préféré oublier cette époque et pour lui sa véritable naissance fut celle qui arriva a l'age de vingt quatre ans quand il fut transformé.

Voulant rompre avec la misére et les années l'aidant, il amassa une tres jolie fortune, pas des moyens plus ou moins légaux vous vous en douter. Peu a peu, il se débarassait d epas mal de sentiments humains qu'il trouvait ridicule, et accumulait des techniques pour ne pas se faire prendre par des chasseurs qui étaient de plus en plus futés et nombreux. Plus nombreux que futé, il fallait l'avouer... Par exemple :

Flash Back.

1879, Londres.

Le londres de la fin du dix neuviéme siécle était en plein dans cette mode de décadence si chére aux francais. Il n'avait pas fallu longtemps pour que cela s'importe en Angleterre, et a vrai dire, le style dandy allait plutot pas mal a Georges. La nuit était fraiche car le printemps venait tout juste de commencer et les saisons n'étaient pas le même que pres de deux siécles plus tard. Il y avait encore des hiver tres rudes et des étés non caniculaires. Minuit n'avait sonné depuis pas bien longtemps et le vampire se savait repéré par un chasseur de la pire sorte : un tenace. Apparament, il n'avait pas apprécié ce qu'un vampire avant fait a sa femme et depuis il s'était lancé contre eux, bref une histoire bien commune. Georges s'était faittrahir par son physique : Plus de quinze ans auparavant, il était a Londres et une femme se rappelait bien de lui, surement un de ses anciennes conquêtes, et elle avait juré que c'était lui qui n'avait absolument pas changé. Pas un trait de veillesse, toujours des reflexes surnaturels et ce coté presque mystique. Un chasseur était présent dans l'audience et le vampire n'eut aucun mal a comprendre qu'il était démasqué.

Il avait pris la fuite dans les rues mal famées du faubourg londonnien. Le genre de longues rues infestées par des prostituées de bas étages et des coupes gorges qui n'hésitait pas a vous tuer pour quelques malheureuses piéces de monnaie. Il entra dans une église, l'endroit ou un chasseur du dix neuvieme siécle ne penserait jamais a entrer pour trouver une créature de la nuit comme on disait. Tous ces mythes et ces légendes étaient totalement faux, les vampires n'avaient rien contre la religion, bien que la quasi totalité n'y croyait plus depuis bien longtemps. S'il y avait un dieu qui faisait la justice sur terre, pourquoi certain pouvaient ils vivrent éternellement en tuant des gens?

Le prête vint a sa rencontre. Malgré les années qui avaient passées il se souvenait parfaitement de l'air qu'il avait, étrangement calme pour quelqu'un qu'on venait de reveiller a travers la nuit. En un claquement de doigts, il se retrouvait derriere lui, et la minute suivante, il avait pris sa vie. Les hommes d'église navaient pas un gout plus savoureux mais contrairement a son habitude, il débarassa le cadavre de la nef de l'église et attendit patiemment que le chasseur retrouve sa trace. En une demie heure, il était devant le vampire qui avait revetu la soutane du pére décédé. Il lui souria ironiquement :

- C'est la fin pour l'un d'entre nous...

Le chasseur pensait réellement qu'il allait avoir un vampire qui avait deja plus de trois cent ans aussi facilement, mais non. Le suceur de sang avait eu le temps d'aller reveiller un peu de monde de maniére a ce qu'une fois le chasseur amené devant l'autel ou reposait le cadavre, il put attirer du monde en criant :

- Au secours! Il a tué le pére! C'est un vampire! Brulez le!

Parfaitement crédible dans son role, des gens arrivérent et se saisirent du chasseur. Finalement, c'était lui le chassé, et il avait péri par le même moyen qu'il reservait aux vampires. D'apres ses cris, cela devait êtr franchement douloureux, mais pendant toute la durée du brasier, Georges avait eu un grand sourire jusqu'a entendre le coeur du chasseur cessé de battre. Le lendemain matin, il prenait un bateau pour Paris.

Fin du Flash Back.

Le reste de la vie ou plutot de l'existence du propriétaire avait été légérement chaotique, mais tres tres longue a raconter. Les passages concernant Ambre, Georges ne voulait pas y repenser alors qu'il était dans son bureau avec une ravissante blonde répondant au doux prénom de Léonore. Sentant ses jambes s'enserrer au niveau de son bas ventre, il passa une main sous sa cuisse afin de la maintenir tout contre lui.

- Oui...

Un sourire fugace passa sur ses lévres avant que celui ci ne passe un doigt dessus. Le désir lui effleurait les sens. Il caressait la peau de la jambe de la jeune femme en remontant le long de sa cuisse alors qu'elle s'occupait de lui enelever sa ceinture...

HJ : Désolé, malade, pas inspiré du tout --'

L

- Pourrais-tu me résister Georges ?

- Je t'avais dit que je préférais comme ça, n'est-ce-pas ? ...

Pas de problème, ma réponse n'est pas vraiment mieux de toute manière.